Notre président, Herr Doktor Reinhard Rauball a été réélu pour un nouveau mandat de trois ans lors de notre dernière assemblée générale. Il était l’invité mercredi du Fan-Talk « 19:09 – der schwarzgelbe Talk » à la Hansa-Caree. Extraits.
La pression avant le match à Berlin :
Oui, elle était déjà là, pas de question – mais j’aimerai un peu relativiser la pression sur le chaudron. La pression était là compte tenu des objectifs que nous nous sommes fixés. Mais il n’était pas question de parler de finale, nous ne nous laisserons pas entraîner là-dedans.
La mentalité du BVB à Berlin :
C’était mieux à apprécier. En comparaison à ce que nous avons observé lors du match contre Paderborn, ce n’était pas aussi intense que ce que l’équipe a montré à Berlin. Ce n’était pas digne du BVB ce que nous avons montré contre Paderborn.
Les sifflets et les « fans » qui ont ovationné les buts de Paderborn :
Ce fut une nouvelle expérience pour moi. Cela ne s’était jamais produit, même dans les moments difficiles, que des Borussen attaquent verbalement d’autres Borussen. Aki Watzke a eu raison de répondre à cela. Je ne comprends pas, un Borussen ne se comporte pas ainsi normalement. J’en conclus que ce n’étaient pas de vrais Borussen. Mais je comprends les sifflets.
Les ambitions de titre du BVB :
Nous ne sommes qu’un point derrière le Bayern Munich au classement et ils doivent encore venir à Dortmund au deuxième tour. Mais ce ne sont pas nos seuls adversaires, la densité en tête est considérable. C’est un signe pour moi que la qualité de certains clubs augmente constamment. Mais je crois toujours qu’il existe une chance réaliste pour nous.
La pression sur l’entraîneur Lucien Favre ces dernières semaines :
Je l’ai vu très stable, étonnamment stable. J’ai l’impression qu’il ne lit aucun journal (n.d.l.r : nous confirmons). C’était bien dans cette phase qu’il n’ait pas toujours à faire face à la pression. Vous ne pouvez faire aucun reproche à l’entraîneur.
Julian Brandt :
Le match à Berlin marque pour lui une progression de performance. Il se cherche un nouveau poste. Julian est un jeune homme, il a besoin de temps de jeu, d’automatismes, de rythme. Je suis sûr qu’il va de nouveau jouer là où il a joué.
Un nouvel attaquant cet hiver :
Aki Watzke l’a déjà dit, nous avons besoin d’un nouveau joueur du type attaquant de pointe et il en sera ainsi. Même si tous ceux qui ont déjà été actifs dans ce secteur comme Hans-Joachim Watzke ne connaissent pas cela autrement : cela était déjà le cas avec Lewandowski, Barrios et dans des temps plus anciens, il y avait toujours quelqu’un au milieu qui pouvait jouer attaquant de pointe et même à l’époque de Burgsmüller. Je serai heureux si cela va dans cette direction. Mais si vous regardez les choses de manière réaliste, il n’est pas facile de trouver quelqu’un qui puisse répondre à cette exigence.
Son mandat de président au BVB :
Il est important de savoir que ceux pour lesquels vous parlez et pour lesquels vous agissez dont derrière vous. Et il y aussi beaucoup de confiance avec les autres membres de la direction. Cela nous donne une certaine sécurité même dans les moments difficiles.
Son vœux pour son 73ème anniversaire qu’il fêtera les 25 décembre :
Remettre le Schale à l’équipe dans les trois prochaines années est un souhait absolu pour moi – et la qualification pour le prochain tour de Ligue des Champions l’année prochaine.
Réponses retranscrites dans la RuhrNachrichten.
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